
Hier, le bec enfariné, j’ai voulu renouveler ma réexpédition du courrier par internet. Je suis donc allée sur le site de la poste, et après avoir rempli toutes les cases, il m’a été indiqué que je devais me déplacer à la poste. Zut !

La jolie petite poste près de chez moi est fermée. Il faut donc aller à la principale, à plus d’un kilomètre, en voiture, et tous les deux. Re zut !
A peine partis, monsieur l’agent nous fait arrêter. Il nous demande où nous allons. Je lui explique le problème et lui mets le contrat terminé sous le nez. Il me demande si nous vivons ensemble, et pourquoi nous nous déplaçons à deux. Je lui explique qu’il faut qu’on signe le contrat tous les deux devant la préposée. Il nous a donné sa bénédiction…. Ouf !
Arrivés à la poste, encore faut-il trouver une place pour se garer. Plus facile à dire qu’à faire. La place trouvée, j’ai laissé mon « Jardnet « trottiner tout seul avec ses cannes anglaises, et j’ai foncé pour avoir une place dans la queue de la poste. J’ai ainsi gagné quelques places, heureusement d’ailleurs, car après avoir patienté ¾ d’heure, seulement 2 ou 3 personnes ont pu entrer derrière nous avant qu’ils de disent que c’était l’heure de la fermeture. Un homme rouspétait car il faisait la queue depuis 11 heures du matin, qu’il avait été rejeté d’un autre bureau de poste, et qu’il n’avait qu’une recommandée à poster. Il n’a pas pu entrer.

Munis de notre précieux sésame, nous sommes rentrés à la maison avec ¼ d’heure de retard sur l’heure de sortie autorisée. Mais monsieur l’agent était parti déjeuner. Re Ouf !

Nous aussi avons déjeuné, et c’est avec nostalgie que j’ai sorti le camembert qui est loin d’avoir la bonne mine de celui de Cantelouve !!!!

Bonne journée